Expos

Idées d’expositions

 Du 1er octobre au 17 janvier 2015

Pour la première fois  les œuvres de Kuniyoshi sont exposés au Petit Palais à Paris.

Ces estampes ont influencé les grands maîtres tels que Monet et Rodin mais également nos contemporains pour la réalisation de mangas et de tatouages.

 Kuniyoshi au petit Palais
Kuniyoshi au petit Palais

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KAIKO – La Sériciculture Impériale du Japon

Les échanges franco-japonais sous le signe de la soie….

kimono EDO
kimono EDO

 

On ne manquera pas cette exposition qui se déroulera du 19 février au 5 avril 2014 au musée de la culture du Japon à Paris (MCJP).

Cette exposition retrace les aventures de la soie après la période EDO.

En effet, en 1859, après une longue période de fermeture des frontières japonaises (période EDO),  le port de Yokohama s’ouvre de nouveau à l’étranger. La soie brute deviendra l’un des articles majeurs dans les exportations japonaises.

Cet élevage des vers à soie, placé sous le haut patro­nage des impé­ra­tri­ces suc­ces­si­ves, devait se pour­sui­vre durant les ères Meiji (1868-1912), Taishô (1912-1926) et Shôwa (1926-1989).

Aujourd’hui encore, mal­gré le déclin accen­tué de la séri­ci­culture japo­naise, Sa Majesté l’Impératrice per­pé­tue depuis vingt-cinq années cet héri­tage comme l’une des tra­di­tions de la Maison Impériale. A l’occasion du retour du prin­temps, Sa Majesté l’Impératrice, par­ti­cipe à la quasi-tota­lité des étapes de l’élevage du ver à soie dans la Magnanerie (bâti­ment des­tiné à la séri­ci­culture)

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Cette expo­si­tion pré­sente également les échanges de la soie entre la France et le Japon à par­tir de la seconde moi­tié du XIXe siè­cle.

Cela nous rappelle notre participation à l’événement SILK ME BACK crée par Isabelle Moulin.

Silk me baclk est un projet culturel valorisant les relations privilégiées qui ont toujours existé entre Lyon, sa région et le Japon par le domaine de la soie. Une collection de kimonos créés par des artistes contemporains et soutenue par le réseau textile rhônalpin sera exposée puis vendue au bénéfice des sinistrés de Fukushima.

Voir le lien     http://silkmeback.blogspot.fr/

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Kimono confectionné par Franck Josseaume pour l’évènement Silk me back
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Kimono confectionné par Franck Josseaume pour l’évènement Silk me back
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Kimono confectionné par Franck Josseaume pour l’évènement Silk me back
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La couleur dans l’estampe japonaise

Du 22 janvier au 10 mars 2014 – Musée Guimet à Paris

Estampe japonaise pendant la période EDO
Estampe japonaise pendant la période EDO
Au début du 17e siècle  c’est la renaissance de la gravure sur bois au Japon . Le mouvement Ukiyo-e, « Images du Monde Flottant », deviendra la représentation d’images sur  des paravents, rouleaux et calendriers. Des couleurs contrastées, une exubérance des attitudes et des expressions, un essai de transcription des matières caractérisent son style.
Le développement de cette peinture  accompagne alors l’essor économique d’Edo, capitale depuis 1603. Elle donne naissance à des feuilles d’estampes (ichimai-e) dont les sujets privilégient le portrait – héros légendaires, acteurs ou belles femmes. A Edo, l’essor du livre imprimé illustré (ehon) accompagne celui d’une littérature populaire : recueils poétiques, romans ou guides. La technique retenue est alors celle de l’impression monochrome à l’encre de Chine (sumizuri-e).

Les premiers artistes de l’estampe à user de la couleur sont  au 17e siècle, Hishikawa Moronobu, fondateur du genre, et Nishikawa Sukenobu. Ils sont suivis au début du XVIIIe siècle, des peintres de l’école Kaigetsudô, dont l’atelier est situé près de la porte de Yoshiwara, quartier des plaisirs à Edo.

Une première mise en couleurs des illustrations, après 1615, use d’un rouge-orangé (tan) qui sera remplacé vers 1740 par un pigment rouge rosé d’origine végétale (beni). Tout le XVIIIe siècle est scandé par la rapide diversification des effets colorés : vers 1730, ajout d’un noir laqué (urushi-e) pour les chevelures, les ceintures (obi), les détails mobiliers. Au rouge beni est associé, vers 1740,  un pigment vert d’origine végétale.

 

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Charlotte Pierrand au Bon Marché

Exposition au Bon Marché Rive Gauche en hommage à la célèbre  designerCharlotte pierrand

La Maison des thés est dédiée aux victimes de la catastrophe qui a touché le Japon le 11 mars. Ce pays occupait une place privilégiée dans le cœur et l’œuvre de Charlotte Pierrand.

Pour l’occasion, Cassina en collaboration avec le Bon Marché Rive Gauche expose une vingtaine de créations emblématiques et rééditées  dans des finitions spécifiques pour l’exposition.

Sous la verrière du 2ème étage du Bon Marché Rive Gauche www.lebonmarche.com

Voir les photos sur le blog : Laila Easum

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Kimiko Yoshida – Expo à la maison européenne de la photographie

Kimiko Yoshida est une artiste contemporaine japonaise. Elle est née à Tokyo en 1962.
Elle a suivi des études de photographie au Japon puis en France où elle vit et travaille depuis 1995.

Elle tire de l’expérience de son enfance sa force d’inspiration, elle est nomade, vagabonde,   fugitive. »

Ses séries d’autoportraits, évoque son univers mystérieux et parfait !!!

une merveille, une découverte qui inspira forcement les créatifs d’EDO……

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Céramiques d’Edo – Musée Cernuschi

Le musée Cernuschi dévoile ses réserves japonaises et expose une sélection des plus belles céramiques rapportées du Japon par Henri Cernuschi, lors de son voyage autour du monde, de 1871 à 1873.

L’exposition présente une sélection de 120 œuvres réalisés notamment pendant période d’Edo (1615-1868).

On y découvre les premiers ustensiles nécessaires à la cérémonie du thé ainsi que les premières porcelaines japonaises destinées en particulier aux banquets et festins de l’aristocratie.

Apprenez à reconnaître les motifs des céramiques grâce à la mini visite guidée qui permet aussi d’avoir une vision globale de la période EDO…

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